Voilà quelques jours que ça dure et qu’on commence enfin à respirer. La ville a été rendue à ses habitants. Pourvu que ça dure, mais ce n’est pas encore gagné, car ce n’est pas la première fois qu’on applique cette thérapie de choc qui, malheureusement, ne dure que le temps d’une rose. Bien que, cette fois-ci, même les vendeurs de kaki, tabac, figues de barbarie et autres aient fait les frais de cette campagne.
Maintenant, c’est le jeu du chat et de la souris, et à ce jeu le gagnant n’est pas celui qu’on croit, car, au moindre relâchement, c’est le retour à la case départ…
Alors, attendons voir…